





Copies issues du projet E-CALM. https://e-calm.huma-num.fr/
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"Tout Aurélien sort d'une phrase [...] imaginée en marchant dans les rues de Nice." Reconnaissant un rôle déterminant aux incipit dans la genèse de ses principaux romans, Aragon s'est interrogé sur la survenue de ces "phrases initiatrices", "phrases de réveil", leur attribuant une vertu magique, sorte de "Sésame, ouvre-toi !" Dans Je n'ai jamais appris à écrire ou les Incipit, il rapporte les réflexions de Véniamine Kavérine sur les débuts des romans : "La première phrase c'est le pied d'un arc qui se déploie jusqu'à l'autre pied, à la phrase terminale" ; ou encore : "C'est le la, auquel l'écrivain prête l'oreille." Aragon emprunte à l'écrivain soviétique ces images pour les appliquer à Aurélien, dont la première phrase "donne le la de toute cette longue histoire qui va d'une guerre à l'autre [...] pour se clore, Bérénice une fois morte, sur la phrase : "Maintenant il faut la ramener à la maison..." dont j'imagine assez bien qu'elle est le second pied de l'arc."
Louis Aragon, Aurélien, manuscrit autographe, 27 x 21 cm, BNF, Manuscrits, N. a. fr. 25559, f. 1
Honoré de Balzac, La Femme supérieure, 1re partie, manuscrit autographe et épreuves corrigées, mai-juin 1837, 236 f., 31 x 25,5 cm. BNF, Manuscrits, N. A. fr. 6899, f. 31
Gustave Flaubert, Madame Bovary, Esquisse de l'œuvre, manuscrit autographe. © Bibliothèque de Rouen
Étonnamment spectaculaires, les manuscrits de Flaubert témoignent de la lutte obstinée de l’écrivain avec la langue, de sa recherche maniaque de l’expression juste. La première phrase du roman est un aboutissement précédé par des volumes de notes documentaires, de plans, de scénarios. Puis la narration gagne du terrain, à force de corrections, de ratures, de recopies, n’avançant sur la page suivante qu’une fois assurée la rédaction définitive de la précédente. Chaque phrase passe par l’épreuve du « gueuloir », pour vérifier la justesse de la prose. Cette quête douloureuse a laissé son empreinte dans les brouillons de Flaubert.
Gustave Flaubert, Madame Bovary, manuscrit autographe. © Bibliothèque de Rouen
Ce roman, dont l'action se situe dans l'Angleterre du XVIIe siècle, devait être le premier d'une trilogie auquel devaient succéder la Monarchie et Quatrevingt-treize. Le second volume ne verra pas le jour. Ce feuillet, qui appartient au chapitre "La Tempête de neige est une des choses inconnues de la mer", est particulièrement travaillé. Dans la marge de gauche réservée dans ses manuscrits aux additions et corrections, et ici en grande partie utilisée, Victor Hugo a dessiné un cormoran sur une branche. Au-dessous, est évoquée la tempête du 17 mars 1867.
Victor Hugo, L'Homme qui rit, manuscrit autographe sur papier bleu. Reliure en plein parchemin à rabats exécutée par Turner, en 1869. Bibliothèque nationale de France, Manuscrits, NAF 24746, fol. 70
Chaque feuillet correspondant à un chapitre porte la liste des 42 éléments qui doivent obligatoirement y être utilisés.
Georges Perec, La Vie mode d'emploi, "Cahier des charges", 30 x 21 cm. BNF, Arsenal, dépôt G. Perec, 61, 45 et 61, 54.
BnF - Brouillons d'écrivains. (s. d.). http://expositions.bnf.fr/brouillons/enimages/feuille/index.htm
Ils vont dans le château hanté et fout à coup, ils commencent à tourner. Ils tournent et ils tournent. Pendant trois jours ! Le 3 e jour, ils arrivent et ils rencontrent un homme préhistorique. Quelques secondes après ils commenent à se battre avec les hommes préhistoriques. Ils se battirent toute la journée. Le lendemain, ils se retirent en rampant jusqu'à la machine à remonter le temps. Les voilà dans la machine. Elle se remit à tourner. Elle tourna encore trois jours. Le 3 e jour, ils arrivèrent dans le château. Ils sortent et une vieille dame passe par là et les voit le visage en sang. Elle appelle l'ambulance. Quelque temps plus tard, il se trouve à l'hôpital et il voit la garde-malade et il tombe amoureux d'elle : Jean le héros et la garde-malade Marie-Anne se marièrent et vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants.
* Texte produit par Lucie G., élève de 5e année.
Jean avait réuni un groupe d'amis désireux comme lui de tenter l'expérience d'un voyage dans le temps. Tôt le matin, l'équipe se rend au lieu-dit le " château hanté" pour expérimenter un curieux véhicule temporel gardé par une vieille dame. Une fois embarqués, les voici qui se mettent à tourner. Ils tournent et ils tournent. Pendant trois jours. Le troisième jour, la machine s'immobilise. À leur sortie, nos explorateurs rencontrent un homme préhistorique. Puis plusieurs, qui se montrent hostiles et agressifs envers eux. Désireux de les voir quitter leur territoire les primitifs attaquent. Les deux groupes se battent toute la journée. Le lendemain, nos aventuriers épuisés se retirent en rampant jusqu'à la machine à remonter le temps. Les voici prêts à démarrer. La machine se remet à tourner. Elle tourne encore trois jours. Le troisième jour, ils arrivent au château. La vieille dame vient les accueillir à leur sortie de l'engin. Voyant leur visage ensanglanté, elle appelle l'ambulance. Si bien que quelques instants plus tard tous se retrouvent à l'hôpital. Jean est plus mal en point que les autres. C'est pourquoi une garde- malade privée prend soin de lui. Et elle en prend si bien soin qu'il finit par tomber amoureux. Une fois guéri, il lui avoue son amour. Marie-Anne est comblée, car elle aussi s'est attachée à lui. Sans hésiter, ils se marient. Et depuis, ils vivent heureux et ont beaucoup d'enfants.
Ils vont dans le château hanté et tout à coup, ils commencent à tourner. Ils tournent et ils tournent. Pendant trois jours. Le 3e jour, ils arrivent et ils rencontrent un homme préhistorique. Quelques secondes après ils commencèrent à se battre avec un groupe d'hommes préhistoriques. Ils se battirent toute la journée. Le lendemain ils se retirent en rampant jusqu'à la machine à remonter le temps. Et les voilà dans la machine. Elle se remit à tourner et à tourner. Elle tourna encore trois jours. Le 3e jour , ils arrivèrent dans le château. Ils sortent ; une vieille dame les accueille et les voit le visage en sang. Elle appelle l'ambulance. Quelques temps plus tard Chavirin se trouve à l'hôpital et voit la garde-malade. Alors sa tête se met à tourner et à tourner. Cela dura trois jours. Le 3e jour il tomba amoureux. Une fois guéri, il épouse Elvira et ils vécurent heureux et eurent trois enfants. Le troisième s'appelle Chavirin, il veut devenir explorateur et décide de partir avec quelques amis. Ils doivent trouver une curieuse machine gardée par une vieille dame.
Bourque, G. (1994). Écrire, réécrire, récrire. Québec français, (93), 27–30.
Les élèves d'une classe de troisième doivent écrire une nouvelle lors du second trimestre. Valérie fait partie d'un groupe de quatre (trois filles et un garçon) qui a décidé d'écrire le récit des succès et déboires sportifs d'une jeune japonaise passionnée d'arts martiaux, entraînée par un vieux maître. L'écriture et les réécritures s'étalent sur cinq mois.
Alésia est une jeune japonaise âgée de 9 ans, issue d'un milieu bourgeois. À l'école, elle n'avais aucun problème, elle était dotée d'une intelligence extraordinaire. Mais elle ne mettait pas toute sa volonté au travail. Ses parents, l'école (tout ce qui faisait sa vie quotidienne, commençaient à lui sortir par la tête). Pour se changer les idées, elle demanda à ses parents si elle pouvait pratiquer un sport. ils lui dirent qu'ils étaient d'accord.
Depuis qu'elle avait vu un film sur les arts martiaux, Alésia fut fascinée par les armes mais surtout la façon de les manier. Elle se décida pour ce sport. Dès le lendemain elle se renseigna dans tous les centres sportifs. Mais par le plus grand désespoir, Alésia ne trouva aucun centre sportif qui enseignait les arts martiaux. Son père passa une annonce dans le journal pour trouver un homme ou une femme pour enseigner ce sport. Quand Alésia apprit cela, elle fut folle de joie.
Alésia s'était rendue au cinéma pour voir un film sur les arts martiaux car elle adorait ça. En le regardant, elle fut fascinée par la façon dont ils maniaient les armes. Son désir de pratiquer les arts martiaux devenait de plus en plus grand. Alors dès le lendemain, elle alla au club des sports pour savoir si quelqu'un pouvait les lui enseigner.
Un responsable lui donna l'adresse d'un homme spcécialisé dans ce genre d'activité. Elle se rendit seule à l'adresse qu'on lui avait indiqué. Dès qu'elle fut arrivée, elle n'osa pas rentrer. Mais son désir d'apprendre était si fort qu'elle entra. Elle longea une grande allée avant d'arriver à la porte. Là, elle prit son courage à deux mains et sonna.
...
Yoko est une jeune japonaise passionnée d'arts martiaux. Elle pratique ce sport depuis son plus jeune âge.
Yoko estait est une jeune japonaise
passionnée d'arts mariaux. Elle pratique ce sport depuis son
plus jeune âge, elle avait obtenue très peu de victoire. Mais
elle avait réussi à atteindre un niveau mondial. Tout au long
de sa carrière, ses parents s'étaient contre ceux qu'elle
fasse ceci. Yoko avait eux de nombreuses disputes entre ses
parents et elles. Elle adorait ce sport.
Yoko est une jeune japonaise passionnée d'arts martiaux.
Elle pratique ce sort depuis son plus jeune âge. Un
entraîneur l'a suivé régulièrement dans : son
voyage/ tous ces déplacements/. Après tous ces
efforts elle avait obtenue une très bonne place dans le rang
mondiale.
Yoko est une jeune japonaise passionnée d'arts martiaux.
Elle pratique ce sport depuis son plus jeune âge. Grâce à
tous les efforts qu'elle avait fourni pendant des années,
elle devint une des plus jeunes japonaises à avoir obtenu une
très bonne place au niveau mondial. Comme toutes les
championnes, Yoko/ elle
/avait connut de nombreuses
défaites victoires et défaites. Mais Yoko
n'avait pas la "grosse tête", elle devait dans très peu de
temps combattre.
Yoko était une jeune japonaise qui depuis son plus jeune
âge était p/assionnée par les arts martiaux, elle partageait
cett/ on es voyait toujours ensemble. Avant d'être réuni, ils
avait dû surmonter de nombreuses épreuves. Yoko en était même
arrivée à se quereller avec ses propres parents.
tandis que Hang-Yu, lui, s'était disputé
avec son grand-père, l'entraîneur de Yoko.
Yoko était une jeune japonaise qui depuis son plus jeune âge était passionnée par les arts martiaux. Elle partageait cette passion avec son petit ami Hang-Yu. Avant d'être ensembles, Yoko eu une violente dispute avec ses parents : ils pensaient qu'elle était bien trop jeune pour une relation. Mais heureusement, ils reconnurent bien vite qu'ils avaient eu tort. Et trouvèrent que Hang-Yu était un garçon très gentil. Depuis cette confrontation, ils ne se quittaient plus. Hang-Yu accompagnait Yoko à chaqu'un de ses tournois.
Malheureusement, elle dût se retirer de la compétition pour des raisons de santé.
Pendant toute sa convalescence, elle s'était durement entraînée. Tous ses efforts, lui avaient permi de participer prochainement au tournoi de Belgique.
Yoko était une jeune japonaise qui depuis sont plus jeune âge était fascinée par les arts martiaux. Elle partageait cette passion avec son petit ami, Hang-Yu. Avant d'être ensemble, Yoko avait eu une violente dispute avec ses parents : ils pensaient qu'elle était trop jeune pour avoir une relation. Heureusement, ils reconnurent bien vite qu'ils avaient eu tort. par la suite, ils trouvèrent que Hang-Yu était un garçon très gentil et attentionné.
Malheureusement, elle dût se retirer de la compétition pour des raisons de santé. Après s'être remise, elle se remit à s'entraîner.
Tous ses efforts, lui permirent de participer au tournoi de Belgique.
...
Dominique Bucheton, Refonder l'enseignement de l'écriture, éd. Retz, 2014.
Louis | Alexia | |
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C’est une femme qui a trouver une bage rouge et la dame méta la bage est d’uncoup deux ailes flamboyante sortir de son dos deux petites pate et un grand bec lui sortie de la téte et deux oeux rouge et trous queux rouge et marron |
Un jour après les cours une danseuse étoile rentra chez elle elle avait beaucoup de travail elle commença à en faire un peu puis elle s’arrêta tellement çela l’agacé. La danseuse rêvée de s’envoler dans les airs elle de se libérer et de pouvoir danser dans le vent. Elle rêvée de tous ca dans la nature. Elle y aller souvent pour réchlérir. Ce jour ci elle s’allonga au milieu d’un pré d’un coup elle senti un vent si fort, une tornade l’emporter c’était une violante douceur inexplicable elle se mit à daner dans les airs elle virevolter son corps se libéra. Ses yeus brillèrent de mille feux ses bras devenirent des ailes si belle d’un rouge si vif puis peu tous son corps pris l’allure d’un magnique oiseau. Cet oiseau avait des couleurs si belle, flamboyantes. On ne le revit plus jamais. |
Le deuxième état de la métamorphose intervient après les lectures d’Arachné et de Midas et la séance de langue consacrée au lexique de la transformation. |
C’est un homme qui tomba dans de la lave et d’un coup l’homme se propulsa vers le siel. Un long bec lui sortie de sa bouche et deux ailes flamboyante multicolore lui poussèrent dans le dos ses deux jambes se rapetisser et se transforma en petite pate et trois queux lui sortie de derrière rouge écarlate et de grande grife apparaisse a la place de ces ongles et le fénix s’envola et pour tous les gens qui le regarder s’était un événement. |
Un jour une danseuse s’allongea au milieu d’un pré soudain elle senti un vent si fort l’emporter c’était une violante douceur inexplicable elle se mit a danser elle virevolter dans les airs son corps se vêtit de plume flamboyante. Ses bras deveninrent des ailes dignes des plus beau Phénix. Elle avait des couleurs flamboyante au loin nous dirions que c’était un arc en ciel. Ses pieds craquèrent et des pattes composées d’écailles soudées prirent leur place. Elle s’envola dans les airs et on ne la revit plus jamais. |
Nouvelle étape dans la variation ; la métamorphose est réécrite à partir de l’interrogation suivante : « Quels sont les gains et la perte de la métamorphose pour le personnage ? » |
C’est un homme qui tomba dans la lave et d’un coup l’homme se propulsa vers le ciel. Un long bec lui sortie de sa bouche a la place de son nez et deux ailes flamboyante multicolore lui pouserent dans le dos. Ses deux jambes se rapetissa et se transforma en petites pates et trois lui sortie du derrière rouge écarlate et de grande grife lui sortie des mains a la place des ongle et le phénix est il réalisa que sou cette forme on ne le reconaitré et il s’envola et pour tous les gens qui le regarder s’était un événement et elle réalisa qu’elle ne pouvait pas revoir sa famille ses amie. |
Un jour une danseuse s’allongea au milieu d’un pré elle sentit un vent si fort l’emporter cétait une violante douceur inexplicable, elle se mit à danser virevolter dans l’air son corps se libera, il se vêtit de plume flamboyant mais se sentiment de liberté des idées revinrent a son esprit elle se disait qu’elle ne pouvait plus parler avec sa famille qu’elle tenait au cœur, qu’elle ne pourrait plus caresser son chat et son chien dont elle était inséparable, qu’elle ne pourrait plus jouer des heures et des heures avec ses amis mais en même temps elle avait gagner immortalité, la beauté et la liberté. Puis dans un élans de folie ses bras devinrent des ailes dignes des plus beau Phénix. Elle avait des couleurs flamboyantes de fe au moin nous dirions un arc en ciel. Ses pieds craquèrent et des pattes composées d’écailles soudées prirent leur place. Elle s’envola laissant ses cendres qui resteront gravées dans mon cœur à jamais. |
« Et si la métamorphose de ton personnage faisait partie d’un conte merveilleux ? » |
Le Goff, F., & Larrivé, V. (2018). Le temps de l’écriture. UGA Éditions.
Consigne : Raconter une histoire dans laquelle vous insérerez séparément et dans l'ordre donné les trois phrases suivantes :
Elle habitait dans cette maison depuis longtemps.
Il se retourna en entendant ce grand bruit.
Depuis cette aventure les enfants ne sortent plus la nuit.
Corpus Resolco. Accessible à http://syled.univ-paris3.fr/ecriscol/CORPUS-TEST/index.html
Corpus Resolco. Accessible à http://syled.univ-paris3.fr/ecriscol/CORPUS-TEST/index.html
Les élèves ont été invités à rédiger un court texte après la lecture de la nouvelle d’André Maurois, "La Maison". Cette nouvelle décrit la rencontre entre le gardien d’une maison hantée par un fantôme qui a fait fuir ses propriétaires et la jeune femme qui est celle qui hante la maison et que le gardien reconnait comme ce fantôme. Voici la consigne :
Rédige un paragraphe d’environ 6-8 lignes qui va décrire les sentiments des propriétaires de la maison juste avant qu’ils ne la quittent.
La première version du texte de Léa :
Les propriétaires de la maison se sentaient / compresser, mal alaise dans leur demeure ils / étaient de jour en jour de plus en plus déprimer / de tout cela. / C’était compliqué pour eux de quitté leur / maison car cela fait longtemp qui s’y [= qu’ils y] / habitent. Ils tenaient à l’ofrir à leur / petits enfants. / Mais malheureusement le fantome hante / leur maison donc ils décidèrent de la / louer à contre cœur. / Ils auraient beaucoup aimaient rester mais la / jeune femme hante les lieux à / travers ses rêves. Cela était étrange / mais celle ci ne le sait pas.
Le Grand Brouillon de Léa :
La dernière version du texte de Léa :
Moi et (1) mari avons quitté cette horrible et / désastreuse
maison. Lorsque nous étions dans/cette maison je
nous sentons une chose tellement étrange que j’ai eu une envie
folle de me sauver. / La première fois que j’ai vu le fantôme
j’était / troubler. J’en ai parlé à mon mari mais ne me / croyait
pas. Mais non je n’été pas folle enfin. / Mais lorsque lui aussi
l’a vu il m’a cru. / Cette histoire nous avais tellement boulversé.
/ C’était tellement inattendu. / Les nuits j’avais peur. Je criais
lorsque je voyais / l’esprit qui hanté les lieux. / Un choc
désagréable, une émotion curieuse / s’apparait en moi. J’était
souvent affolé / paniqué, des moments souvent de solitude. / Des
situations indéterminables. (1) mon
Dupas, M. & Garcia-Debanc, C. (2022). S’approprier le fantastique en Quatrième par l’écriture de la peur : stéréotypes et lexique des émotions. Le français aujourd'hui, 216, 73-86. https://doi.org/10.3917/lfa.216.0073
Les élèves de CM1 sont allés visiter une ferme qui se situe à Monteravel. Les propriétaires de cette ferme s'appellent M. et Mme Levieil qui nous ont présenté la ferme et les animaux de cette ferme. La ferme de Monteravel est assez petite, il y avait des vaches, un chat, un chien, des chèvres que l'on a essayé de traire, des chevreaux et même des petits poussins que nous avons pris dans nos mains. Les poussins mangent des graines, les vaches mangent des betteraves et du soja, les chèvres mangent des vitamines et du foin. Nous avons aussi mangé du fromage. Pour faire du fromage il faut du lait et de la présure ensuite il faut laisser reposer quatre jours.
La ferme était très chouette et les animaux aussi.
La ferme se trouve à Montcravel.
La ferme est à la fois petite et grande.
Nous avons pris des petits poussins.
Nous avons mangé du fromage de chèvre.
Nous avons vu les caprins : les chèvres et les vaches : les bovins.
J'ai vraiment aimé ce petit voyage c'était très amusant à voir "et très bon".
Bucheton D. (2014). Refonder l'enseignement de l'écriture. Retz.